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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 18:43

 

         Tant que la possibilité existe encore, il me semble indispensable de créer dès aujourd’hui le club des fans d’Anastasie, martyre qui périt, vers 300 après J.C. liée sur un bûcher à Sirmium (Empire romain) (aujourd’hui Sremska Mitrovica en Serbie actuelle).

 

         Depuis ce matin, les différentes interventions qui émanent autant d’hommes politiques que de citoyens de base sur toutes les ondes de radios et les chaînes de télévisions sans oublier les témoignages glanés ci et là dans diverses presses écrites motivent cette soudaine précipitation.

 

« Pourquoi avoir choisi « Anastasie » ? »  vous demandez-vous.

 

« Et pourquoi pas ! » vous répondré-je.

 

         Cette sainte qui sut s’élever au-dessus des vices et des vertus me semble personnifier l’emblème  de la seule nouvelle société qui vaille aujourd’hui.  Je crains que vous soyez très nombreux lors des rassemblements qui devraient avoir lieu le 25 décembre prochain (jour de sa fête aussi).

 

E.....e ...u... u...e ...o......e ...i......e ...’u... ...é...a...eu... ...o...ai... e... ... e...u... ...e... ......i......i...e..... ...e ...a ...oi ...e ...a ...è...e.

......................................... ? .............. .., ....................., ........, ....................... !     ........, ......  ......... ! .... ;  .... ...............   ..................  .............; ........ ?

 

Euh !   Quelqu’un pourrait me dire pourquoi une partie de mon texte a disparu ?

 

Je n’ai pas persiflé pourtant, si ?

P.S. qui n'a rien à voir (mais j'ai quand même caché les ciseaux).

Ne se moque-t-on pas de ce qui est moquable?
Ne ridiculise-t-on pas ce qui est ridiculisable?

Que les politiques soient respectables
et ils seront respectés.

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 20:43

Regarder cette vidéo ne sera pas sans conséquence!

http://www.thebigask.be/

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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 15:06

 


 

         Serait-ce aussi une des conséquences de la crise économique que nous subissons ?

 

         Nous assistons depuis plusieurs semaines, voire quelques mois, à une déferlante de la pensée néolibérale sur tous les médias. Quand ce ne sont pas quelques uns des membres du gouvernement présents chaque jour sur au moins un des nombreux médias pour justifier la politique menée par leur Président, ce sont des journalistes tous plus prou que peu empreints de néolibéralisme qui nous convainquent que ce n’est pas le néolibéralisme qui est la cause de nos déboires mais ce que les hommes en ont fait.

 

         Cette évangélisation des masses respecte toujours la même parfaite orchestration  lors de chaque prestation.

 

         Lors d’une émission radiophonique, on lance un débat sur une question dite d’actualité (mais ne sont-ce pas les médias qui organisent cette dite actualité ?), un invité toujours spécialiste ad hoc donne son avis, les auditeurs interviennent. Là, chaque élu choisi par le ou la standartiste peut déverser sur les ondes son acrimonie à l’encontre de tout et n’importe quoi sans craindre la contradiction. Si cet exercice que certains osent qualifier de démocratique peut servir d’exutoire salutaire, il représente toutefois le danger de transformer de fausses allégations en certitudes puisque  « entendues à la radio » à l’instar de produits commerciaux qui s’achètent une crédibilité par l’ajout « vu à la télé » sur leurs publicités. Semez, médisez, il en restera toujours quelque chose. Et le mutisme du journaliste animateur et/ou de son invité renforce alors d’autant la crédibilité des propos ainsi colportés. Comme on ne peut accuser ce journaliste et son spécialiste d’incompétence, on conclut que le dessein de ce genre d’émission serait de contribuer à la crétinisation du citoyen.

 

         Les émissions de télévision respectent quasiment toutes un seul et même concept. Le plateau comprend un animateur tellement candide qu’il personnifie n’importe quel téléspectateur, des journalistes spécialistes de la question du jour et des invités experts.

        

         Le but de l’émission est de vendre du libéralisme et faire accréditer la politique gouvernementale comme la seule acceptable. Pour être certain de l’atteindre, il suffit d’inviter un spécialiste ou un journaliste estampillé ultralibéral. Chacune de leurs interventions remplit le paradoxe de « gauchir » les propos néolibéraux des autres et les rende ainsi d’une indispensabilité plus « acceptable » pour le citoyen. L’émission se conclut par des questions SMS aussi superficielles que les réponses qu’elles engendrent. Les publicités qui suivent me rappellent alors avec effroi la déclaration de Monsieur Patrick Le Lay :

         « Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible... Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là le changement permanent. Il faut chercher en permanence des programmes qui marchent, suivent les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise...».

Patrick Le Lay, PDG de TFI, « Les dirigeants face au changement », édition du 8è jour.

 

         L’émission que je viens de regarder est un programme qui marche (cf. les chiffres de l’audimat), elle suit la mode et surfe sur la tendance actuelle à défendre le libéralisme,... mon cerveau aurait-il été inconsciemment préparé à être disponible pour mieux ingurgiter ces publicités ?

La redevance télévisuelle servirait-elle à financer un outil conçu pour mieux me faire avaler toutes sortes de couleuvres ?

        

         Je « surfe », moi aussi, mais sur les différentes chaînes de la TNT sans jamais entendre un discours contraire à la pensée unique (ou inique ?) actuelle. J’ajoute quand même un tout petit bémol : ces spécialistes qui prônaient le tout libéral voilà moins d’un an veulent bien accepter reconnaître du bout des lèvres que notre système social spécifiquement français nous protègeraient des conséquences catastrophiques de la crise actuelle. Par contre, discrets ceux qui oseraient critiquer négativement ce que notre Président nous promettait avant son élection, le principe des fameux subprimes par exemple. 

 

        
          Mais ces mêmes spécialistes qui reconnaissent les bienfaits de notre système de protection sociale et de services publics, vilipendent ceux-ci sans vergogne, les accusant d'accroître notre déficit public en omettant de spécifier que si tous les acteurs économiques s’acquittaient de cette mutualisation des charges publiques, nos finances publiques ne seraient pas déficitaires.

 

         Pourquoi n’invite-t-on jamais d’économistes présentant d’autres modèles économiques qui ne fassent de la rentabilité pécuniaire immédiate, de l’appauvrissement des travailleurs, de la ruine des pays du Tiers-Monde, de la négation de l’Homme des lois inéluctables ? 

          
        Malheureusement, on ne peut reprocher à ces producteurs d’émissions politiques de ne pas inviter de personnalités de gauche : la plupart de celles-ci ont tellement bien intégré les lois du néolibéralisme qu’on rencontre parfois quelques difficultés à différencier leurs discours de ceux émanant du pouvoir en place. Et quand exceptionnellement, un véritable opposant avec un projet politico-économique cohérent (et loin d’être communiste, c'est un gros mot!) est invité, il est noyé sous les quolibets faciles tels que « on a vu ce que ça a donné en URSS » accompagnés de sourires condescendants. Et nous, nous ne voyons pas encore le fond de l'abîme dans lequel le libéralisme et le capitalisme ont précipité l'économie mondiale.   
 

 

         La nouvelle nomination des responsables de chaînes de radios et de télévisions publiques augure mal d’une autre manière d’informer objectivement les citoyens.

 

         Les néolibéraux peuvent dormir sereinement. Jamais on n’informera la plèbe du contenu et des conséquences du « consensus de Washington » auquel ont souscrit tous nos politiques en place dans les années 90.

        

         - 1/ Discipline et rigueur budgétaire,

         - 2/ Réorientation de la dépense publique avec privatisation des services publiques,

         - 3/ Réforme fiscale comportant des taux d’imposition maximaux peu élevés et une large assiette fiscale,

         - 4/ Adoption d’un taux de change unique, stable et compétitif,

         - 5/ Libéralisation des échanges et des marchés financiers,

         - 6/ Abolition des barrières à l’entrée sur le marché et libéralisation des  investissements directs étrangers (égalité de traitement entre les entreprises étrangères et celles du pays, libéralisation du commerce

         - 7/ Dérégulation des marchés,

         - 8/ Privatisation des entreprises publiques,

         - 9/ Dérégulation des marchés, déréglementation,

         - 10/ Protection de la propriété privée

 

 

.

         On constate aujourd’hui, en les taisant, les conséquence de la constitution de ce marché mondial et du capitalisme financier : les inégalités ont progressé, les pays pauvres se sont appauvris et leur développement futur est compromis. Les restrictions budgétaires nous mènent vers la récession.

 

         Aucun espace pour ceux qui pensent que nous pourrions profiter de cette « crise » pour réorienter nos objectifs en politiques humaines et économiques.

 

         Ce sera pour la prochaine ! 

         La prochaine quoi, au fait?

 

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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 10:39

« Pardon pour toutes les offense passées !

              Pardon pour toutes les humiliations présentes !

                          Pardon pour toutes les vexations futures !

 

Avec moi, crions notre appel à la pardonitude universelle ! »

 

Et à l’Unanimité du Mécontentement Populaire, impériale, à laquelle se joint l'Unité contre la Madone du Poitou, royale, d’un seul cœur de scander : « Pars donc ! Pars donc ! Pars donc ! »

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 13:30

 

 

         Voilà bientôt deux ans déjà, j’aménageais en ce quartier, un rêve de gamin réalisé à force de travail patient, de volonté de chaque instant souvent teintée de hargne. Conscient que seule une certaine élite s’octroyait le privilège d’occuper ce que l’on appelait «le Palais », il m’avait fallu me démener pour m’intégrer dans des réseaux ad hoc pour éliminer quelques amphitryons du sérail au moins aussi avides que moi.

 

         Bien que l’on m’eut souvent glorifié les qualités de ce coin, je n’avais eu de cesse de vérifier, très tôt et fort souvent, la véracité de ces allégations. Ces visites récurrentes toujours médiatisées « à l’insu de mon plein gré » offraient aussi l’avantage discret d’étoffer mon carnet d’adresses.

 

         Ayant à peine élu domicile, ma femme rompait le lien du mariage, pratique inconnue jusqu’alors dans cet univers. On y marivaudait secrètement, on y batifolait finement, on y cocufiait discrètement mais on n’y divorçait jamais. J’eus craint un instant que la commisération de mes voisins altérât mon aura si durement conquise. Mais paradoxalement, ce déboire d’ordre privé conforta mon image charismatique. 

 

         Un homme de ma hauteur ne pouvant rester sur un échec, futile fut-il conjugal, se devait de convoler diligemment. Grâce à la collaboration de quelques amis, je rencontrai celle qui partage aujourd’hui ma fortune mais aussi parfois mes infortunes.        

 

         Quelques mois après mon aménagement, il fut procédé à la désignation du Président du quartier. Mon élection à l’unanimité récompensait mon application déployée à démontrer que j’étais le meilleur.

 

         Prenant à cœur cette nouvelle responsabilité, je précipitais les réunions au cours desquelles nous nous engagions à encore mieux défendre nos prérogatives que quelques pékins souhaitaient insolemment grignoter. Mon mandat échu, la seule obligation de mon successeur n’était plus que de poursuivre les actions que j’avais instiguées.

 

         C'est alors que je croyais être reconnu comme leur alter ego, je m’aperçois amèrement que ce  je pensais être, de leur part, de la gratitude teintée d’éblouissement n’était que pures simagrées. 

 

         A leur fourberie, je réponds par la franchise qui me caractérise avec toutefois cette discrétion : pour ne pas les offenser et conforter ma place, leur position géographique par rapport à mon Palais se substituera à leur nom.

 

         Mon voisin du sud n’est peut-être pas intelligent en fustigeant mon arrogance.

 

         Celui qui vient d’aménager à l’Ouest ne m’en impose pas non plus malgré sa taille. Il n’a jamais rien fait de sa vie et tout le monde ne voit que par lui alors que sur un certain nombre de choses, il n’a encore pas de position. Si j’avais su, j’aurais fait voter l’interdiction d’avoir des chiens dans le quartier, ça urine, ça défèque, ça aboie...

        

         Quant à la voisine du Nord-Est, c’est quand elle s’est rendu compte de l’état de ses affaires financières qu’elle a été contente de se rallier à mes positions.

 

         Comme le dit ma femme qui connaît tout tellement elle a lu : « Il existe une loi politique et peut-être naturelle qui exige que deux voisins forts et proches, quelle que soit leur mutuelle amitié au début, finissent toujours par en venir à un désir d’extermination réciproque. »

         C'est beau...Mais ça, je ne peux pas le citer parce que je ne serais pas crédible d’autant que c’est un certain Flodor DOSTOÏEVSKI qui aurait écrit ça.

 

         « Mais non, mon ami, c’est Fiodor et non Flodor ! » 

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 00:20

Ouf ! Le libéralisme est sauvé.

Portons la bonne parole aux "quatre coins" de la terre!
 

Le monde entier attendait le compte-rendu finalisant cette réunion du G20.

 

D’abord, une question : qui peut réciter tout de go la liste des 20 nations participant à ce sommet ?

 

Tentons une réponse : le Royaume Uni ?  l’Allemagne ?  la Chine ? la Russie ? le Japon ? l’Italie ? le Brésil ? ...

 

Et bien entendu les Etats-Unis et la France.

 

Mais cela ne fait que 9 pays.

 

         Peu importe car à écouter les propos des journalistes français les jours précédents ce sommet, celui-ci se réduisait à la seule rencontre entre Messieurs Barack OBAMA et Nicolas SARKOSY.

 

Ce n’était plus un G20 mais le G 2 (OBAMA*, SARKOSY) + 0 (les autres).

 

* : Au cas où vous l’ignoreriez, notre Président avait déclaré que ce Barack était son copain.

 

           Nous avons du assister à un grand numéro de tragédie clownesque peu glorieux pour l’aura de notre pays alors que « tout était quasiment bouclé » avant ce sommet. Et heureusement ! On ne nous fera pas croire que des chefs d’Etat pourraient trouver LA solution à cette crise en quelques heures de rencontres et de négociations. Avec le légendaire flegme britannique, Monsieur Gordon BROWON nous a rassuré : notre Président sera présent de l’entrée jusqu’au dessert.

 

          Cet évènement a largement été couvert par les médias... et je suis quelque peu marri et tout otan autant inquiet : je n’ai pas vu de photo ou d’image filmée montrant de longues effusions de notre Président avec son homologue américain. J’avais même espéré qu’à cause de cette grande amitié qui les lie, ils auraient été côte à côte durant le repas... Imaginez les photos... la Une de Match... mais BLING ! Notre Président s’est retrouvé relégué entre des représentants de pays inconnus.

Ces anglais qui ne nous pardonnent toujours pas nos petites zizanies d’antan n’avaient pas daigné consulter l’Elysée pour l’élaboration du plan de table. On se rattrapera à Strasbourg,

 

Permettez-moi cette réflexion toute personnelle : « j’chuis très déçu d’l’attitude des journalist’...y z’ont mêm’ pas parlé d’not’ Président avec OBAMA... par cont’... qu’est-c’qui z’on fait ? hein ?... vous savez bien c’qui z’ont fait à la télé ?... non ? éh ben... »

 

Ils ont montré le Président OBAMA serrant la main du Président brésilien Lula Da SILVA en déclarant : « C’est l’homme le plus célèbre de la terre ! »

 

Cette digression engendrée par ces peccadilles bassement diplomatiques ne doivent pas nous faire oublier que notre Président à réussi l’exploit de convaincre Monsieur OBAMA de sauver le libéralisme en le MORALISANT !

 

LE LIBERALISME EST SAUVE !

ALLELUIA !

 

(car libéralisme et religion vont toujours de pair)

 

OUF !  3 fois OUF !

 

Imaginons que les 11 pays présents qu’on ne connaît pas s’étaient mis en tête d’autres stratégies comme par exemples :

 

         - Nationaliser les banques ayant reçu une aide d’Etat,

         - Condamnation des responsables des organismes bancaires en faillite,

         - Etablir un même régime fiscal universel,

         - Eradication de tous les paradis fiscaux y compris ceux qui le sont et qu’on veut bien ignorer car leurs sous-sols ne sont pas inintéressants sur le plan énergétique.

         - Réglementation stricte des revenus des  patrons des grandes entreprises,

         - Fins de tous les privilèges de ces mêmes patrons (stocks options argentés, parachutes dorés, retraites diamantées, ...)

         - Etablissement d’une échelle de salaires universelle avec taxation maximum de tous les revenus en excès,

         - Suppression des boucliers fiscaux,

         - Intéressement des travailleurs aux résultats de leur entreprise au moins égal à celui versé aux actionnaires,

         - Partage équitable des richesses,

         - Nationalisation pour l’Euro symbolique des grosses entreprises défaillantes,

         - Responsabilisation des dirigeants d’entreprise pour leur gestion,

         - Possibilité donnée aux ouvriers de racheter pour 1 Euro toute entreprise avec les outils qui ferme,

         - Aide à la création de coopératives de productions,

         - Recherche d’un équilibre entre PME et grandes industries,

         - Planification des productions,

         - Retour aux services publics :  - Electricité,

                                                        - Gaz,

                                                        - Poste,

                                                        -Téléphone,

                                                        - Santé,

                                                        - Enseignement,

 

         - mise en place d’un système social international,

 

         - Mise en place d’un Droit du Travail international,

 

         - Retour à la taxation des produits pétroliers,

 

         - Contrôle strict des prix des produits de consommation courante,

        

         - Aides matérielles, morales et humaines réelles envers les pays jusque là maintenus dans la pauvreté,

         - Condamnation par le T.P.I. des dirigeants malhonnêtes, (trafiquants, escrocs,...)

         - Instauration d’une taxe sur toutes les transactions boursières,

         - ...

 

         Imaginez le traumatisme mondial... la blêmitude  de nos Présidents...le nombre de suicides dans les minutes qui auraient suivi cette annonce...

 

         Sortons de ce cauchemar et soyons rassurés : le libéralisme ne sera jamais en danger car nous sommes formatés « libéral » dans notre façon de penser, d’agir, de concevoir la société.

 

         Voyez les médias : tous les intervenants qui évoquent la crise sont peu ou prou d’essence libérale. Ils nous expliquent avec beaucoup d’application que le libéralisme est le meilleur de tous les systèmes. Monsieur Besancenot ne pourrait exister sans ces régimes économiques "d'essences" libérales et les socio-démocrates ne font qu’adapter leurs idéaux au libéralisme.

 

         On va se gargariser du succès obtenu par l’accord pour établir une liste classifiant les paradis fiscaux que tout le monde connaît.

        C’est un peu comme si un séminaire mondial de météorologues se concluait par un document indiquant l'ordre des saisons et le temps qu’il devrait faire pour chacune d'elles.

        Enfin, notre Président est heureux donc son peuple sera donc content

        

        

         N’oublions pas les 11 autres pays :


Afrique du Sud, Arabie Saoudite, Argentine, Australie, Canada, Corée du Sud, Inde, Indonésie, Mexique, Turquie et ... l’Union Européenne (qui compte pour le 20è).

 

        

 

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 22:58

            Pour tous les membres du gouvernement, la consigne est l’adoption d’un langage commun pour présenter les réformes et les actes gouvernementaux. Chacun doit s’employer à faire œuvre de pédagogie (sans doute pour mieux faire avaler les diverses couleuvres, pilules ou décoctions dont on nous gave depuis plusieurs mois).

 

         Par constat de ce que quotidiennement les médias nous distillent, il serait peut-être à craindre qu’a mal été perçue la subtile distinction entre « langage commun » et « langage commun ».

 

         Tous les ministres peuvent tenir un discours analogue sans recourir au parler trivial.

 

         Appliquer une nouvelle manière de communiquer avec le peuple n’implique pas la vulgarité. Un bon pédagogue saura, avec une bonne maîtrise, adapter son niveau de langage à son auditoire tout en sachant garder, pour valoriser  et crédibiliser son propos, un petit plus lexical.

        

         Chacun aura pu constater s’être soudain trouvé « intelligent » à l’écoute d’une simple et courte démonstration d’un principe physique ou chimique complexe faite par un « érudit », lequel lui aura consacré de nombreuses années de recherches avant de la pouvoir expliquer clairement. L’emploi de mots simples mais justes de sens, de phrases concises mais riches de contenus ont ainsi émoustillé  notre soif de connaissance et pu créer une appétence pour un domaine qui nous semblait jusqu’alors interdit.

 

 

« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement

Et les mots pour le dire arrivent aisément »

 

         A dit Nicolas....*  

 

(à moins bien sûr que le lexique dont on dispose ne soit pas assez bien doté pour exprimer finement sa pensée.)

 

         Peut-on apprécier l’estime qu’un homme politique a de ses concitoyens au niveau de langage dont il use pour s’adresser à eux ?

         Dans l’affirmative, on pourrait conclure que beaucoup de nos élus les jugent comme des simplets ignorant les principes élémentaires syntaxiques et privés de toute élémentaire compréhension.

          

         Pour illustrer ce propos, voici quelques exemples glanés lors d’allocutions :

(Par égard et respect, le nom de leur(s) auteur(s) n’a pas été mentionné.)

 

« Mesdames et Messieurs,

 

Je voudrais vous dire combien... je suis content de venir dans cette ... euh... usine... Aztom... ça manquait à ma collection... »

 

« ... et franchement... mais j’chuis profondément européen... mais ça m’fait quand même bien plaisir qu’ça soit Aztom qui ramasse des marchés à la pelle... plutôt qu’ Mitsubishi ou Siemens... »

 

« J’préfère qu’vous savez qu’vous soyez avec un actionnaire qu’vous connaissez ici... plutôt qu’avec le fond d’pension des veuves écossaises... hein j’ai... j’ai rien contre ... mais... bon en r’vanche... les p’tits jeunes qui les dirigent ces fonds ...  y font pas dans l’sentiment ... vous croyez...  y font pas dans l’sentiment...  et quand y s’agit d’leur demander des comptes y sont pas là...y disent au r’voir... hein ? »

 

« Moi, j’ai pas été content d’l’attitude des gens d’Continental... »

 

« ... et qui sucent les entreprises... qui les pompent... et qui leur enlèvent tout’la richesse... oui...oui...euh...quand y z’étaient à t’che... y z’étaient... »

 

« Vous savez, dans la crise, y’a beaucoup d’gens qui perdent leur sang froid...surtout parmi les... élites... une grande caractéristique... j’me d’mande parfois que plus y z’ont fait d’étude... à part...hein...  à part... Patrick... mais ça franchement... l’air de ...Par moment, on s’demand’  c’est à quoi ça leur a servi tout’ ces années... pour avoir autant de mauvais sens... ouâf... certains d’mes amis sont...c’sont des amis... colonne vertébrale.... ... .... .... .... faut dire qu’y a des grosses vagues ....pfou...y’en a qu’ont l’impression d’avoir le mal de mer avant d’avoir le mal de mer... »

 

« voilà... vous savez pourquoi ? parce que je crois à l’avenir de la construction navale pour les paqu’bots de la dernière génération, pour les méthaniers d’la dernière génération et comme y’aura l’prolong’ment d’la durée d’la vie, y’aura de plus en plus de gens qui voudront faire des tours en croisières... hé bien... nous avons pris... oui... oui Dominique... »

 

« Je crois à l’écologie...on a fait l’Grenelles de l’environnement et c’est bon pour les trains... c’est bon pour les trams... en même temps...j’me battrai pour qu’y reste des usines en France pace que l’écologie c’est pas que y ait que des jardins et pas d’boulot pour vos enfants... et pour vous.... »

« j’ai pas été élu pour augmenter les impôts moi... »

 

« ...alors si y’en a qu’ça les démange d’augmenter les impôts... »

 

« ...Ceux qui sont dans la première tranche des impôts sur le revenu... on a décidé pour vous aider à passer la crise vous paierez pas d’impôts 2è tiers... 3è tiers vous l’paierez pas... »

 

« Moi... mes ... mes mesdames et messieurs... j’’veux pas enrichir Monaco moi, j’veux pas enrichir la Suisse, j’veux pas enrichir.. un.. un.. l’Autriche, j’veux qu’les gens viennent dépenser leur argent et investissent en France... »

 

« J’suis quelqu’un qui dit c’qui pense... et ça s’arrange pas ... »

 

« J’ai pas prévu d’vous dire tout ça...mais ça m’a fait bien plaisir d’vous l’dire... »

 

C’est pas gai... no ...c’est pas gai.

 

De ce parler vrai logorrhéique,

en sachant c’qu’on sait,

on pourrait aussi conclure :

 

« Faisez c’que j’dis

Ne disez pas c’que j’fais ! »

 

*(désolé !) : Nicolas BOILEAU-DESPREAUX (1636-1711)

 

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 03:57

 

Voilà à peu près ce que j’ai entendu sur la 2è chaîne, au journal de 20h vendredi 27 mars. Si je ne retranscris pas exactement le propos de la journaliste, je n’en trahis pas le fond.

 

« Imaginez un juge franc-maçon devant prononcer, après avis d’un procureur franc-maçon,  une sentence à l’encontre d’un prévenu franc-maçon lui-même défendu par un avocat franc-maçon... sur la foi de rapport rédigé par un huissier franc-maçon. »

 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « franc-maçon » par « catholique »

 

« Imaginez un juge catholique devant prononcer, après avis d’un procureur catholique,  une sentence à l’encontre d’un prévenu catholique lui-même défendu par un avocat catholique... sur la foi de rapport rédigé par un huissier catholique. »

 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « catholique » par « protestant »

 

« Imaginez un juge protestant  devant prononcer, après avis d’un procureur protestant,  une sentence à l’encontre d’un prévenu protestant lui-même défendu par un avocat protestant... sur la foi de rapport rédigé par un huissier protestant. »

 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « protestant » par « musulman »

 

« Imaginez un juge musulman devant prononcer, après avis d’un procureur musulman,  une sentence à l’encontre d’un prévenu musulman lui-même défendu par un avocat musulman... sur la foi de rapport rédigé par un huissier musulman. »

 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « musulman » par « juif »

 

« Imaginez un juge juif devant prononcer, après avis d’un procureur juif,  une sentence à l’encontre d’un prévenu juif lui-même défendu par un avocat juif... sur la foi de rapport rédigé par un huissier juif. 

 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « juif » par « athée »

 

« Imaginez un juge athée devant prononcer, après avis d’un procureur athée,  une sentence à l’encontre d’un prévenu athée lui-même défendu par un avocat athée... sur la foi de rapport rédigé par un huissier athée. 

 

Amusons-nous à remplacer le mot « athée » par « femme »

 

« Imaginez une juge (femme)  devant prononcer, après avis d’une procureure (femme),  une sentence à l’encontre d’une prévenue (femme) elle-même défendue par une avocate (femme)... sur la foi de rapport rédigé par un huissier femme. »

 


           On pourrait continuer cet exercice de substitution ad libitum avec : noir, jaune,  « porteur du virus VIH », homosexuel, célibataire, transsexuel, connard, intégriste,...

 

Et maintenant, on mélange

 

« Imaginez une juge catholique devant prononcer, après avis d’un procureur franc-maçon,  une sentence à l’encontre d’un prévenu athée lui-même défendu par un avocat juif... sur la foi de rapport rédigé par un huissier musulman. » 

 

 

 

Dans quel cas la justice serait-elle la plus mal rendue ?

 

Jetez la suspicion sur une catégorie de personnes rappellent certaines heures sombres de notre histoire.

Aujourd’hui, les francs-maçons, demain les arabes, les noirs, les immigrés, les juifs,...

La seule catégorie qui soit préservée : les CONS !

 

Question à cette journaliste :

Que n’a-t-elle point encore réalisé une enquête sur les conditions d’obtention de thèses universitaires révisionnistes ou farfelues portant, par exemple, sur l’astrologie.... ?
J'aimerai qu'elle m'explique comment on peut commettre un tel bouquin qui revendique, pour sa promotion, la révélation de secrets, un secret étant par définition secret. A moins que cet ouvrage qui fera certainement date dans les flopes de l'édition ne soit encore qu'un de ces tas d'âneries truffées d'état d'âne: un état dans l'état en quelque sorte.

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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 14:21

Ci-dessous,une lettre extraite de Témoignage chrétien.fr (Archives du journal)

                                        J'ai excommunié Benoît XVI

                                              par Gérard BESSIERES

 

 

 

C’est énorme, c’est vrai, disproportionné avec ma chétive personne ! Mais il faut bien que je l’avoue, je ne peux pas le cacher aux amis : j’ai excommunié Benoît XVI. Alors que lui venait de lever l’excommunication des évêques intégristes… !
Vous ne me prenez pas au sérieux ? C’est pourtant vrai. Que s’est-il passé ? Fin janvier, quand Rome a consolidé ces quatre mitres schismatiques sans tenir grand compte de leur refus du renouveau du dernier concile, de la reconnaissance de la liberté religieuse, de l’œcuménisme, de l’ouverture au monde, et j’en passe, j’ai cessé de nommer l’évêque de Rome dans la prière eucharistique.
Notez que je n’ai pas inventé pareil silence. Dans les Églises anciennes – sentez comme je suis porté vers la Tradition ! – quand il y avait des chamailleries, souvent passagères, on cessait de faire mention pendant la messe des camarades avec qui on était en pétard. On les nommait à nouveau quand on avait arrangé les affaires. Donc pas de gloussements hypocrites, de soupirs vers l’unité, mais déclaration nette de désaccord jusqu’à ce que tout soit clarifié.

Alors j’ai fait pareil.


Et puis, trop, c’est trop ! Après la bévue de Ratisbonne, la nomination à Varsovie d’un archevêque, ancien indic de la police communiste, qu’il a fallu démissionner au seuil de la cathédrale, la création d’un prieuré pour quatre prêtres intégristes à la barbe de l’archevêque de Bordeaux, la possibilité offerte à ces intégristes dépendant directement de Rome d’ouvrir un séminaire (ce qui révélait, derrière les trémolos à l’unité, une stratégie de restauration d’une Église « à l’ancienne »), voilà qu’on fait encore des avances aux disciples obstinés de

Mgr  Lefebvre  !

Lèverai-je un jour l’excommunication ? Il faudrait des signes de repentance et de fidélité en actes aux orientations de Vatican II.
Pourvu que je ne me fasse pas traiter de schismatique… Mais peut-être qu’à ce moment-là, on s’occupera de moi, on m’encouragera à célébrer la messe dans la langue de ma vie, avec les gens, sans leur tourner le dos, peut-être aussi qu’on sera soucieux de leur liberté de conscience, qu’on partagera davantage leurs attentes, quelles que soient leur religion, leurs convictions et les couleurs de leurs âmes. En se tournant résolument vers l’avenir ! Avec quelqu’un, un juif, qui semble un peu oublié à Ecône et qui ne parlait pas latin : Jésus.



par Gérard Bessières, prêtre

 

Notre Président devrait-il revoir son appréciation sur la prééminence des curés sur les instituteurs ?

 

« En donnant en France et dans le monde le témoignage d’une vie donnée aux autres et comblée par l’expérience de Dieu, vous créer de l’espérance et vous faites grandir des sentiments nobles. C’est une chance pour notre pays, et le Président que je suis le considère avec beaucoup d’attention. Dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé, même s’il est important qu’il s’en approche, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance. »

Monsieur Nicolas SARKOZY

Président de la République

Rome, Palais du Latran, jeudi 20 décembre 2007

 

.°.

 

 

Autres illustrations :

 

Par décret daté du 21 janvier 2009, le Vatican annule l’excommunication des évêques intégristes dont Monsieur Richard WILLIANSON qui, en novembre 2008, avait fait cette déclaration la télévision suédoise : « Je crois qu’il n’y a pas eu de chambres à gaz... Je pense que 200 000 à 300 000 Juifs ont péri dans les camps de concentration, mais pas un seul dans les chambres à gaz. »

 

.°.

 

« Certes, ce qu’il (le beau-père violeur) a fait est horrible mais il y a tant de péchés graves, et le plus grave est l’élimination d’une vie innocente. »

 

Déclaration faite pour justifier l’excommunication d’une enfant de 9 ans qui avait avorté après avoir été violée par son beau-père.

( la mère et le medecin furent aussi excommuniés).
 

Monsieur José CARDOSO SOBRINHO

Archevêque au Brésil

Récife Jeudi 5 mars 2009 (le beau-père)

.°.

 

 

« Si on n’y met pas l’âme, si on n’aide pas les Africains, on ne peut pas résoudre ce fléau (le SIDA, ndlr) par la distribution de préservatifs : au contraire, le risque est d’augmenter le problème. La solution ne peut se trouver que dans un double engagement : le premier, une humanisation de la sexualité c’est-à-dire un renouveau spirituel et humain qui apporte avec soi une nouvelle manière de se comporter l’un avec l’autre, et le deuxième, une véritable amitié également et surtout pour les personnes qui souffrent, la disponibilité, même au prix de sacrifices, de renoncements personnels, à des êtres proches de ceux qui souffrent. »

 

Monsieur Josef RATZINGER

Pape

Avion, le mardi 17 mars 2009

 

.°.

 

« Je me suis borné à dire que les chambres à gaz étaient un détail de l’Histoire de la seconde guerre mondiale, ce qui est une évidence. »

 

Monsieur Jean-Marie LE PEN

Euro député

Parlement Européen de STRASBOURG

Mercredi 25 mars 2009

 

.°.


« Vous le savez très bien, tous les scientifiques le savent: la taille du virus du sida est infiniment plus fine que celle d'un spermatozoïde. La preuve est faite que le préservatif n'est pas une garantie à 100% contre le sida. »

« Il y a écrit sur les boîtes de cigarettes : « danger ». On devrait mettre sur les boîtes de préservatifs : « Fiabilité incomplète. »


Monsieur André FORT

Evêque à ORLEANS

Vendredi 27 mars 2009


                                                            .°. 

 

« Hier, j’suis allé en boîte, y z’avait fait un lâcher d’salopes .. vous connaissez mon côté sportif... moi, j’ai même pas sorti l’fusil d’l’étui...j’ai tout de suite compris qu’c’était de l’élevage... tu t’approchais d’elles... elles restaient là... elles s’apercevaient même pas qu’elles allaient se faire tirer...obligé de leur mettre un coup d’pied au cul pour éviter la boucherie... moi... la salope sauvage, j’sais c’que c’est... »


Monsieur Jean-Marie BIGARD

Accompagnateur de notre Président de la République au Vatican
Bercy


                                                                                                       .°.

Bien qu’ignorant, et pour cause, les différents péripéties décrites ci-dessus, les hommes politiques de la III République parmi lesquels Paul BERT et Jules FERRY, avec beaucoup de discernement et de circonspection, avaient en 1880 réservé l’exclusivité de la délivrance des titres universitaires aux seules universités publiques.

En 1984, c’est le Conseil d’Etat qui reconnaît le caractère constitutionnel du monopole d’Etat de l’attribution des grades universitaires.


          Faisant fi de l’histoire et du caractère laïque de notre République, ,  Bernard KOUCHNER, le 18 décembre  2008, signait avec le Vatican un accord de reconnaissance des grades et diplômes dans l’enseignement supérieur.

« Cet accord a pour objet de reconnaître la valeurs des grades et des diplômes canoniques délivrés par les établissements d’enseignement supérieur catholiques et reconnus par le Saint-Siège et de faciliter les différents cursus universitaire. » déclarait-il.


         Cet outrage à notre Constitution ne fait qu’illustrer ce que notre président avait déclaré dans son discours de Latran : « Aujourd’hui encore, la République maintient les congrégations sous une forme de tutelle, refuse de reconnaître un caractère cultuel à l’action caritative ou aux moyens de communication des Eglises, répugne à reconnaître la valeur des diplômes délivrés dans les établissements d’enseignement supérieur catholique alors que la Convention de Bologne le prévoit, n’accorde aucune valeur aux diplômes de théologie.. »

        
         Les Directeurs de ces établissements confessionnels privés ayant le choix des matières et programmes enseignés, nous pouvons être certains que les cours d’enfilage ... de capotes seront remplacés par d’autres de déontologie plus humaniste du genre : Dieu est vie et amour, Il vous pardonnera donc si vous violez votre fille.

Petite phrase du jour:

En préparant leur popote,
des petites salopes pas palotes
mais non plus papolâtres
papotent de capotes.... :
"
oh! dieu! ... les vits s'tripotent ? 
c'est hot !"


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21 mars 2009 6 21 /03 /mars /2009 14:10

             Dans le Nouvel Observateur du 19 mars 2009, Madame Agnès CAVET*  nous apprend que « le soutien scolaire privé reçoit chaque année 240 000 000€ (240 millions d’€) d’aides publiques quand l’Etat ne consacre que 100 000 000€ (100 millions d’€) à l’aide gratuite aux enfants en difficultés. »

 

* : Chargée d’Etudes et de Recherche à l’Institut National de Recherche Pédagogique.

Rappel: Pour ces cours de "soutiens scolaires à domicile", les familles sont remboursées de 50% de leurs dépenses via leurs impôts (chèque emploi service).

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